- Accueil
- Acheter du fioul
- Prix du Fioul
- Groupements
- Actualités
- Autres produits
- Autres services
- Devenir partenaire
- Nous contacter
FerméDemandez votre fioul !
OUI Je peux conserver ma chaudière fioul après 2022 !
Chauffage : l'erreur à ne pas commettre !
En savoir plusNewsletter
Restez informé toute l'année
Actualités du fioul
Tendance Prix du Fioul 24 Août : Forte Hausse
Publié le 24/08/2022 14h22
Nous sommes Mercredi et c’est le jour de la semaine où nous faisons notre désormais traditionnel point hebdomadaire sur l’évolution du prix du baril de pétrole (particulièrement le Brent) et par extension le prix du fioul. Le cours du brut a beaucoup progressé en ce début de semaine, poussé par une possible réduction de production de la part de l’OPEP+, des problèmes sur un important terminal pétrolier dans la mer noire et une possible baisse des stocks aux Etats-Unis.
Machine arrière de l’OPEP+ ?
Aujourd’hui, 24 août 2022, le baril de Brent s’échangeait pour environ 101.25 dollars vers 09h30, en forte hausse par rapport à l’ouverture lundi matin où il était à 95.59 dollars. Celui-ci a progressé de 3.87% lors de la séance de mardi, repassant au-dessus de la barre des 100 dollars. De son côté, le prix du fioul repart de plus belle, passant de 1444€ à 1507€ les 1000L.
L’élément ayant le plus mis le feu aux poudres ces derniers jours est l’interview du ministre saoudien de l’Energie. Celui-ci a mis sur la table une possible réduction de la production de l’Organisation afin de stabiliser les cours qui sont, selon lui, déconnectés de la réalité. Le ministre évoque un « cercle vicieux » dans lequel est piégé le marché et amplifié par des histoires infondées.
Parmi elles : une destruction de la demande, des nouvelles sur un retour de grands volumes d’offre ou encore l’ambiguïté et l’incertitude sur les impacts potentiels des plafonds de prix, des embargos et des sanctions. Certains représentants d’autres pays membres ont confirmé cette possibilité, en particulier s’il venait à y avoir de nouveaux signaux confirmant la récession à venir et si l’accord sur le nucléaire iranien devait voir le jour.
Bouchons dans la mer Noire
Un autre facteur influençant l’offre est survenu cette semaine. L’annonce de la fermeture de deux points de ravitaillement sur trois dans un important terminal russe en mer Noire. Les opérateurs de l’oléoduc en question, qui transporte la majorité du brut kazakh, ont dû les fermer pour réparation. L’approvisionnement des tankers est donc limité à un tiers de sa capacité, ce qui limite fortement les volumes exportés.
