- Accueil
- Acheter du fioul
- Prix du Fioul
- Groupements
- Actualités
- Autres produits
- Autres services
- Devenir partenaire
- Nous contacter
FerméDemandez votre fioul !
OUI Je peux conserver ma chaudière fioul après 2022 !
Chauffage : l'erreur à ne pas commettre !
En savoir plusNewsletter
Restez informé toute l'année
Actualités du fioul
Le plan B de la Russie
Publié le 15/04/2022 15h24
Alors que les responsables occidentaux parlent déjà d’une 6ème salve de sanctions contre la Russie, le président Poutine a démontré que ça ne l’inquiétait pas et que son pays saurait y faire face. Il a indiqué que ses exportations de brut pouvaient facilement trouver preneur dans les régions du monde en ayant le plus besoin tout en augmentant la consommation intérieure du pays.
Vers un embargo total ?
Cela fait déjà quelques semaines que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, le Canada et l’Australie ont mis en place un embargo sur les importations de pétrole provenant de Russie. Bien que le sujet soit toujours sur la table en Europe, les pays membres de l’UE restent divisés sur la question car certains d’entre eux sont fortement dépendants des hydrocarbures russes.
Vladimir Poutine a déclaré lors d’une réunion sur le développement de l’Arctique russe que les problèmes d’approvisionnement en énergie de l’Occident étaient de son fait car de nombreux pays refusent de coopérer et cela a provoqué une grave crise énergétique pour des millions d’européens. Crise qui pourrait s’amplifier largement si l’embargo était total.
La stratégie russe
La Russie rencontre elle aussi de graves difficultés mais de nouvelles opportunités s’ouvrent à elle d’après le président russe. Celle-ci est notamment disposer à vendre son pétrole aux pays amis dans n’importe quelle fourchette de prix ainsi que dans les régions du monde où il est vraiment nécessaire comme l’Inde avec laquelle elle possède de gros contrats.
Par ailleurs, Vladimir Poutine a également précisé être en mesure d’augmenter la consommation de pétrole, gaz et charbon sur le marché intérieur pour contrebalancer les sanctions. De son côté, l’AIE a annoncé que l’impact de ces sanctions et la réticence des pays consommateurs envers le brut russe se ferait vraiment sentir à partir de mai avec environ 3 millions de barils par jour en moins sur le marché.
